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un-petit-morceau-de-vie chroniques d'une jeune fille un-petit-morceau-de-vie chroniques d'une jeune fille chapîtres première page articles précédents articles suivants dernière page communiquer - correspondre profil de l'auteur contacter l'auteur ajouter à vos favoris chapitre 1 ( 3 ) anciens chapîtres de la chronique avril 2012 ( 6 ) rechercher dans ce blog mots-clés chronique créee avec cowblog liens aucun lien. chapitre 1. partie 3 : les retrouvailles (2/2) mardi 17 avril 2012 à 16:40 je n'ai pas attendu ne serais ce qu'une seconde j'ai remontée les escaliers, ouvert la porte tout doucement, et je l'ai vu sur son lit il a souri en me voyant et à écarté ses bras et m'a dis : "viens la contre moi.." j'ai posé ma tête contre son torse et fermée les yeux il me sérrait si fort son coeur et le mien semblaient battre au même rythme dans une harmonie parfaite, je l'avais retrouvé, j'avais l'impression de ne vivre que dans cette petite bulle où seul lui & moi n'habitions, toutes mes pensées se dirigeaient vers lui et même en étant avec lui je pensais à lui, je rêvais de lui les yeux ouverts et je crois même qu'a cet instant je ne savais pas vraiment si c'était un songe ou la simple réalité. j'étais tout contre lui et malgré les pomades et tout autres médicament qu'on lui avaient appliqué ou donné je sentais son odeur, cette odeur mâle qui attire, qui donne envi que l'on se shoote, de la sniffer. il ne me lachait pas il ne me désenlaçais pas, et avec sa voix affaiblit il a laissé s'échapper un petit "je t'aime alexandra". moi : je t'aime aussi, c'est comme si dieu avait décidé de notre destin, qu'il avait provoqué de tout là haut cet accident de merde pour nous mettre sur le même chemin. enzo : ce matin je n'ai pas arrêté de penser à toi, et je pensais à la même chose, c'est impossible que la hasard unisse des personnes inconnues à ce point et qu'en si peu de temps elles en viennent à se manquer presqu'à en creuver et à s'aimer d'une force.. moi : je sais, moi j'ai pensé à toi toute la soirée je n'ai pas pu m'endormir avant minuit, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps je crois même que j'avais jamais autant pleuré de ma vie. enzo : pourquoi tu as pleuré ma princesse, je ne veux pas que tu sois triste pour moi, tu sais si tu n'avais pas été là, je me serais sans doute laissé mourir, regarde moi je n'avais aucune raison de continuer à vivre, et toi tu es apparu dans ma vie comme par magie, comme pour me sauver, me sortir de cercle infernal qui m'entrainait au plus bas. moi : enzo, ne dis pas ça ! enzo : si ! je n'avais rien et en l'espace d'une journée tu m'as tout apporté, maintennat je vais me battre pour toi, je vais me relever pour nous, parce que tu m'as tendu la main et je ne pourrais plus jamais te la lacher maintenant. moi : c'est magnifique ce que tu dis, moi qui menait une vie simple, banale, c'était la routine, tu m'as éclairé enzo, t'as été ma lumière et quand je t'ai vu par terre j'ai compris que si je ne t'aidais pas à te relever par la suite j'allais rater le plus important. enzo : tu crois au coup de foudre ? moi : biensur que j'y crois, j'en ai la preuve sous les yeux. je crois juste que le destin ne peux pas provoquer ça tout seul. enzo : c'est étonnant la façon dont on est sur la même longueur d'onde.. moi : je crois qu'il fallait juste qu'on se rencontre, que nos chemins se croisent pour n'en former plus qu'un et avancer toujouirs l'un à coté de l'autre. enzo : les gens se moquerais de nous s'ils nous entendaient parler, mais c'est la vérité, je t'aime comme si tu étais celle que j'avais connues toute ma vie. moi : tu as raison, pour moi c'est tellement pareil.. je n'en revenais pas, il pensait exactement les même choses que moi, chaque mot qu'il mettait à la suite d'un autre pour exprimer ce qu'il ressentait , j'avais les mêmes a l'interieur de moi, chaque sentiments décris, chaque pensé, chaque détails, tous les mêmes, c'était juste incroyable de voir à quel point on pouvais ressembler à quelqu'un qu'on ne connaissait pas la veille. j'ai relevé ma tête de son torse et j'ai sorti de mon sac la petite peluche que j'avais prise sur mon lit pour lui donner. enzo : oh merci.., j'avais la même quand j'était tout petit, mais mon père un jour qu'il était en colère l'avait jetter. moi : maintenant tu l'as retrouvée et j'espère que'elle te fera penser à moi, parce que j'ai des tas de souvenirs avec cette peluche étant gamine, des tas d'émotions que j'ai pleuré sur elle ou rit aussi. enzo : ne t'en fais pas j'en prendrais soin aussi bien que je prendrais soin de toi.. moi : pour le moment c'est à moi de prendre soin de toi, j'ai été incapable d'aller en cours ce matin, je n'ai cessé de penser à toi depuis que je suis parti d'ici hier soir, je serais là pour toujours maintenant, tu fais partie de moi. il faut que je te donne mon numéro que tu m'appelles ou m'envoi un message si tu as besoin de quelque chose, n'importe quoi. enzo : après mon accident je n'ai pas retouvé mon téléphone, alors je ne sais pas si il s'est cassé ou s'il est juste tombé. moi : tu sais quoi ? voila je vais te donner le mien et tu m'appelleras ce soir pour me dire comment tu vas le numéro "maison" est enregistré dedans t'en fait pas, j'ai pas besoin du reste ce qui m'importe c'est toi, je veux savoir comment ça va et pouvoir entendre ta voix. (la suite demain) aucun avis sur la chronique chapitre 1. partie 3 : les retrouvailles (1/2) lundi 16 avril 2012 à 19:10 il était 8h quand je me suis réveillée, je n'avais pas entendue le réveil. je n'étais plus mal comme c'était le cas hier soir en rentrant, j'étais comme dans un autre monde, mon coeur battait d'une façon assez bizarre, disons que chaque battement se faisait ressentir plus violemment que d'habitude. je ne pouvais pas allé en cours il fallait absolument que j'aille voir enzo à l'hôpital, il avait passé la nuit seul, il avait du souffrir, il n'y avait que lui dans mes pensées. j'ai pris mon temps pour me préparer, histoire de ne pas arrivée trop tôt pour ne pas le réveiller. je n'allais pas arrivée les mains vide, mais bon en même temps une boite de chocolat ça fait trop cliché, trop commun, alors j'ai pris une petite peluche sur mon lit, un petit ours tout doux, c'était ridicule à 18 ans de lui apporter une peluche mais je suis sure qu'il penserait à moi. j'ai pris le bus les yeux embués je repensais à la veille, et mon coeur qui s'accélérait encore. ce garçon, il m'avait chaviré, il était tombé et je voulais le relever.. une heure entière de trajet pour aller le voir mais j'aurais traversé la france entière s'il le fallait, c'était comme ça, mon esprit et mon coeur le réclamait, il fallait absolument que je le voit. plus rien n'était flou, les images me revenaient, ma main dans la sienne, je caressais sa joue et il s'était endormi, mes doigts entre les siens. enzo.. j'en frissonnait encore, ça y est c'était l'arrêt de l'hopital, je suis sortie du bus, je tenais à peine sur mes jambes tellement j'étais émue de savoir que j'allais le retrouver, les marches des escaliers jusqu'à sa chambres m'ont semblé interminables, ça y est j'étais devant la porte 131, et quand j'ai pris mon courrage à deux mains pour l'ouvrir, il n'y avait plus personne. j'étais horrifiée, où était-il passé, où l'avait-il mis ? j'ai tourné un bon quard d'heure pour regagner l'acceuil, heureusement que ma mère m'avais corrigé son nom de famille hier soir lorsque je l'avais averti, moi : bonjour je cherche un jeune homme, il est entré en urgence hier accompagné des pompiers pour accident, il s'appelle enzo giacopimo, hier il était en chambre 131, mais là il n'y est plus.. l'hotesse d'acceuil : il est indiqué être toujours en chambre 131, les médecins l'ont peut être transporté en salle de soin, patientez quelques instants dans sa chambre si vous le désirez je suis persuadée qu'il ne va pas tarder à revenir. moi : vous pensez qu'il en a pour longtemps en salle de soin ? l'hotesse d'acceuil : entre 20 et 30 minutes maximum, je ne sais pas depui